Au-delà d’une simple promesse de discrétion ou de confidentialité, le secret professionnel auquel je suis soumise est lié à l’article 226-13 du Code Pénal, à savoir :
La révélation d’une information à caractère secret par une personne qui en est dépositaire soit par état ou par profession, soit en raison d’une fonction ou d’une mission temporaire, est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende.
Ce serait également perdre la confiance de tous et me faire une bien mauvaise réputation que de faillir à ce devoir ! Aussi, je n’ai ni le droit ni l’envie de révéler ce que vous me confiez. A PERSONNE.
Comme tout professionnel réellement soumis au secret, j’ai globalement un devoir de me taire. Mais dans de très rares cas, la loi impose ou permet la divulgation du secret.
L’exception
Je DOIS renoncer au secret professionnel dans une seule situation : Continuer de lire