9 commentaires à “Les travailleurs sociaux, béni-oui-oui ?”
  1. Je suis tout à fait ok avec vos propos.. J’ai dénoncé la même chose… Ouf je me sens moins seul dans mon combat… Moi qui suis obligé de solliciter le Portugal pour faire un doctorat en travail social

  2. Merci pour ce beau témoignage, il est encourageant et rempli de vérités. Je suis triste de ce manque de considération notamment envers nous les travailleurs sociaux et de surcroît envers les bénéficiaires.

  3. Bravo pour cet article. Il reflète bien le manque de reconnaissance de notre métier… Pour ma part j’ai remonté un problème avec un bénéficiaire : résultat pas de soutien de la direction et droit de retrait !!!

  4. Bravo pour votre article !
    Nous devrions produire des écrits, c’est également le constat que j’en fait. Mais comment ? j’ai bien essayé à divers reprises de solliciter ma hiérarchie, mais je n’ai guère eu d’écho ! Peut- être est-ce à nous de proposer et d’organiser, encore faudrait-il qu’il y ait suffisamment de participants et d’éléments fédérateurs !
    Si vous avez des idées, je suis partante ! Car faire un constat, c’est bien et constructif et votre chronique est efficace. Il faut maintenant passer aux propositions d’actions, c’est ainsi que nous pourrons être visibles et peut-être reconnus

  5. Tout à fait d’ accord…. on nous en demande de plus en plus et on doit la fermer pour nous ! Aucune reconnaisance. ..Limite burn out en psychiatrie. ..

  6. Entièrement d’accord j’exerce maintenant en suisse en tant qu’assistante sociale et bien je valide la considération du travail social existe dans ce pays

  7. Merci à tous pour vos messages. Et merci à chacun…

    @Denis : Oui, il y a même un projet franco-portugais en ce sens ; la France aurait intérêt à valoriser son capital humain pour éviter la fuite des cerveaux.

    @Henry : Ravie que vous ayez perçu mes encouragements ! Et je partage votre remarque concernant le manque de considération des personnes que l’on accueille, ou qui nous accueillent.

    @Toussaint : Effectivement, il n’y a pas nécessité d’accord de l’employeur pour se protéger d’une situation critique. Je remets la référence législative : Code du travail, articles L 4131-1 et suivants.

    @Audrey : Et même beaucoup. ;)

    @Pascale : On peut faire valoir son expertise, même sans support de sa hiérarchie ni d’un collectif ; en conclusion de l’article j’ai donc invité à certaines actions qui peuvent être individuelles comme de groupe. Et, oui, vous avez raison : à plusieurs on peut être plus visibles !

    @Véronique : Merci… Votre message est fort. Que penseriez-vous d’un changement dans votre parcours professionnel ?

    @Charny : J’apprécie votre témoignage qui nous rappelle que d’autres réalités sont possibles.

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